Pour le bien de votre entreprise, pensez à souscrire une assurance professionnelle informatique. L’objectif est de garantir une meilleure protection pour tous vos matériels informatiques, y compris les données conservées qui sont importantes pour votre société.
La souscription d’une assurance professionnelle informatique
Tout professionnel peut souscrire à cette assurance quel que soit son domaine d’activité ou la taille de l’entreprise. Les associations et toute autre entité à but non lucratif peuvent aussi en souscrire pour garantir leurs matériels informatiques. Mais quels matériels informatiques sont concernés par cette assurance ? Sont concernés, les matériels utilisés au sein de l’entreprise, ceux qui sont utilisés en dehors de l’entreprise, c’est-à-dire les matériels portables, ainsi que toutes les données stockées dans les matériels informatiques. En général, cette assurance est déjà comprise dans les garanties d’une assurance professionnelle multirisque, mais si ce n’est pas le cas, vous pouvez le souscrire indépendamment.
Quels sont les risques assurés par cette assurance ?
Lorsque vous souscrivez à une assurance informatique professionnelle, tous vos matériels informatiques seront protégés contre de nombreux risques notamment les dommages liés à l’utilisation de l’électricité, l’incendie, l’éclatement de la foudre et autres sinistres. Les dégâts des eaux font aussi partie des risques répandus, idem pour les virus et la destruction des matériels. Bien évidemment, les actes de vandalisme et le vol font aussi partie des risques couverts par l’assurance informatique professionnelle. Toutefois, il faut préciser que certains cas ne sont pas couverts, surtout quand les matériels informatiques n’ont pas été placés dans un endroit bien sécurisés.
Cette assurance propose différentes garanties notamment des garanties de base ou des garanties optionnelles. Elle propose entre autres une garantie responsabilité civile couvrant les dommages causés à un tiers, une garantie des données informatiques stockées, une garantie pertes financières, etc. Un conseil : bien lire les clauses du contrat d’assurance